Foire aux questions

  • Suivez votre GPS pour vous rendre au 3230 boulevard Curé-Labelle à Laval.

    Une fois devant l’immeuble, vous trouverez un grand stationnement à l’arrière de celui-ci.

    Stationnez-vous et prenez la porte arrière de l’immeuble.

    Vous pouvez prendre les escaliers à votre droite ou l’ascenseur pour vous rendre au 2e étage.

    Une fois au deuxième étage, tournez à droite et encore à droite, vous trouverez la clinique (bureau 210).

    À très bientôt!

  • Le plus tôt, le mieux. Un enfant peut être vu par un professionnel dès qu’on soupçonne des difficultés.

    Quand consulter?

    • Orthophonie : dès qu’on soupçonne des difficultés langagières (aussi tôt que 12 mois), on recommande de consulter un.e orthophoniste pour intervenir le plus rapidement possible au besoin.

    • Orthopédagogie : dès l’entrée à l’école, si l’enfant présente des difficultés d’apprentissage, vous pouvez consulter un.e orthopédagogue.

    • Ergothérapie : à tout âge, l’enfant peut être suivi par un.e ergothérapeute pour toute difficulté motrice, sensorielle ou d’autonomie.

    • Neuropsychologie : un enfant ou une personne peut être évaluée en neuropsychologie lorsqu’elle semble avoir une atteinte des fonctions cognitives, un trouble neuropsychologique développemental (ex. : TDAH, dyslexie/dysorthographie, TSA) et que cela impacte plusieurs sphères de sa vie (ex.: école, travail, relations, maison, etc.).

    • Psychoéducation : lorsque votre enfant a des difficultés comportementales, de gestion d’émotions ou présente un trouble et qu’il a de la difficulté à s’adapter dans différentes situations.

  • Tout d’abord, vous faites bien de vous inquiéter. Habituellement, lorsque les parents s’inquiètent pour le développement de leur enfant, la majorité de ceux-ci ont raison.

    Alors, en fonction du développement du langage typique, nous comparons celui de votre enfant afin de voir si l’écart est inquiétant.

    Pour vous donner une piste :

    • Même lorsque l’enfant ne parle pas avant 12 mois, il communique avec des sourires, des regards, des gestes, des vocalisations (« aaaa » « èèèè ») ou du babillage (bababa, dadada). Si à 12 mois la majortié de ces éléments ne sont pas observés, vous avez raison de vous inquiéter et nous vous recommandons de parler avec un.e orthophoniste.

    • Vers 18 mois, l’enfant commence à combiner des mots et c’est la période de l’explosion du vocabulaire. On compte environ 50 mots de vocabulaire dans le répertoire des enfants à cet âge-là. Si à 18 mois votre enfant ne produit pas de mots, veuillez considérer une consultation en orthophonie.

    Enfin, les données probantes en orthophonie démontrent que l’intervention précoce est particulièrement efficace, puisqu’elle favorise le développement langagier, réduit le risque d’accentuation des écarts et augmente les chances d’atteindre un niveau de communication fonctionnelle.

  • Le terme retard de langage est de moins en moins utilisé en orthophonie, car il suggère que l’enfant rattrapera nécessairement son développement sans difficulté persistante, ce qui n’est pas toujours le cas. De nos jours, on parle plutôt de difficultés langagières lorsque les acquis de l’enfant sont en-deçà des attentes pour son âge, mais qu’il est possible qu’elles soient transitoires et qu’elles s’atténuent grâce à la stimulation, aux stratégies mises en place au quotidien ou à une intervention orthophonique.

    Lorsque les difficultés persistent malgré le temps et le soutien, on parle plutôt de trouble développemental du langage (TDL). Dans ce cas, les difficultés langagières demeurent et peuvent se manifester différemment selon l’âge : par exemple, un jeune enfant peut présenter un vocabulaire limité ou des difficultés à combiner des mots, alors qu’un enfant d’âge scolaire peut rencontrer des défis lors de l’écriture, lorsqu’il organise ses idées ou lors de compréhension de textes. Le TDL est donc une condition qui persiste dans le temps et qui nécessite un accompagnement spécialisé.

  • Lorsqu’un enfant présente des difficultés langagières persistantes en lien avec une condition biomédicale connue (par exemple un syndrome génétique, un trouble du spectre de l’autisme, une déficience auditive, une atteinte neurologique ou une déficience intellectuelle), on parle de trouble du langage associé à une condition biomédicale.

    En revanche, lorsque les difficultés langagières sont persistantes, qu’elles ont un impact significatif sur la communication et la vie quotidienne, mais qu’elles ne s’expliquent pas par une autre condition biomédicale, on utilise le terme trouble développemental du langage (TDL).

  • Oui. En raison des longues listes d’attente dans le réseau public, de nombreux parents choisissent de faire évaluer leur enfant en clinique privée afin de débuter l’accompagnement le plus tôt possible. Lorsque l’enfant est finalement appelé par le service public, il pourra en bénéficier immédiatement. Il est aussi possible de mettre temporairement en pause les suivis au privé pendant la période d’intervention offerte par le réseau public.

  • Cela dépend. Si votre enfant n’a jamais été évalué par un.e orthophoniste, il est essentiel de d’abord réaliser une évaluation complète afin d’obtenir un portrait précis de ses forces et de ses difficultés. Cette étape nous permet de cibler les besoins et de bâtir un plan d’intervention adapté.

    Pour les enfants de moins de 4 ans, il est parfois possible de débuter par un dépistage. Celui-ci permettra de déterminer si une évaluation approfondie sera nécessaire ultérieurement ou si l’enfant ne présente que quelques difficultés.

  • Si le dernier rapport d’évaluation date de moins d’un an, nous pourrons nous appuyer sur le plan d’intervention déjà établi. Toutefois, une rencontre initiale de mise à jour sera tout de même prévue afin d’échanger avec les parents et d’observer les difficultés actuelles de l’enfant.

  • Oui, pour plusieurs services comme l’orthophonie, l’orthopédagogie, la psychoéducation et certaines évaluations sont possibles en télépratique. D’ailleurs, les données probantes (données de recherches récentes) démontrent que la télépratique peut être aussi efficace que les services en présentiel dans plusieurs contextes, lorsque bien adaptée.

  • Les services professionnels ne sont pas couverts par la RAMQ. Cependant, un reçu est remis à chaque rencontre, ce qui vous permet de soumettre une demande de remboursement à votre assurance privée, si celle-ci inclut la couverture du service reçu.

  • Lors de la prise de contact, nous vous posons quelques questions afin de comprendre vos besoins. Nous vous orientons ensuite vers le professionnel le mieux qualifié pour les difficultés de votre enfant ou votre proche.

  • Oui. Tous les professionnels respectent les lois et règlements de leur ordre professionnel ainsi que la Loi sur la protection des renseignements personnels. Vos informations ne sont partagées qu’avec votre consentement.

  • Nous demandons habituellement un avis d’au moins 48 heures pour annuler ou reporter un rendez-vous, afin d’offrir la place à un autre client. Le cas échéant, des frais s’appliquent pour les absences non avisées. Les séances peuvent être transférées en coaching parental ou en télépratique également.

    En cas de maladie ou d’urgence, veuillez nous aviser le plus tôt possible afin d’éviter des frais d’annulation. Tout rendez-vous annulé sans préavis entraînera la facturation de la séance prévue.

    Veuillez vous référer au document de contrat de services signé lors du premier rendez-vous.

  • Non. Vous n’avez pas besoin d’une référence pour avoir accès aux services au sein de la clinique.

  • Nous acceptons les virements Interac, l’argent comptant, les cartes de crédit et les cartes débit.